"...I had also just been reading Paul Valéry’s Péri Tôn Tou Théou. He was thinking about the sea, and he notes some things that resonate with what I wanted to achieve with these paintings:

A. Tu regards éternellement la mer. Tu attends.

B. Oui et non. Je regarde ce qui n’est pas terre.

Je tourne toujours vers mes yeux sans le vouloir

vers la partie de l’espace où ils puissent ne rien

distraitement

voir. Je voudrais sans le savoir une vue de quelque

chose qui me mire ma pensée, laquelle s’ignore

comme j’ignorerais mon visage sans les miroirs.

L’âme cherche à se considérer.

Le ciel et la mer sont miroirs. Le ciel et la mer

sont les régions de la sphère visible où est l’éternel

avenir. La terre est passé. Les pierres ont une histoire

(cf. notre [Bretagne ?]) Les feuillages sont présents.

les yeux

Mais l’âme qui contemple/nt les effacements et

les reprises de la nature marine et qui ensuite

prennent font

prend le ciel à témoin. Se fait mer et ciel

alternativement, en tire/nt du silence et des soupirs

et elle attend d’elle même de quoi abolir cette mer

l’âme

et ce ciel – et ce qu’il faut pour ne pas leur être.

Ils semblent vouloir toujours enfanter

quelque chose- Elle(mer) veut rejeter

je ne sais qui est en elle. Il (ciel) veut

signifier, et ne signifie rien –



I wanted to make a picture that would respond to Valéry’s request: “I want to unknowingly behold something that mirrors my thought ”. To do so would require rethinking representational strategies of signification. I wanted the painting to provide an original experience. I felt like this would bring the picture closer to Burke’s notion of the Sublime, something that I had come across when traveling in Iceland. I could achieve this by painting a dynamic field. The Picture, like the Sea, could be a dynamic field within eternally fixed limits, within an eternal arrangement governed by laws of gravity, perception, and scale."



Sea Pictures are dynamic fields of writings. Indexical signs of human behaviour –marks– are made with styli of different metals (e.g. gold, silver, bismuth, tin, lead, et al) appear and recede beneath thin layers of oil paint.